Méditations

Séparé des pécheurs

La norme de Dieu est Jésus. Le critère de la vérité est Jésus. Par lui, pour lui et en lui, tout ce que Dieu fait poursuit l’objectif de nous rendre conformes au modèle parfait de la grâce.

Parfois une simple plaisanterie éteint l’Esprit et attriste Celui que nous aimons. Les paroles déshonnêtes, les propos insensés sont à bannir de nos vies. Appelés à la sanctification, quelle que soit notre situation, nous nous devons d’emprunter le chemin étroit du repentir.
Il s’agit de ne même pas « nommer » l’impureté, l’impudicité, etc… (Ephésiens 5:3)

Parlant des enfants de malédiction, l’apôtre Pierre les traite d’hommes tarés et souillés, de brutes qui périront par leur propre corruption. Il leur est réservée l’obscurité des ténèbres.
Ne minimisons jamais la gravité du péché. Ne soyons pas de ceux qui s’habituent à la démence collective. Dieu a en horreur l’impureté.
Les impudiques et les adultères seront jugés par Dieu (Hébreux 13:4).

L’Ecriture concède que les impudiques de ce monde sont tellement nombreux qu’on ne peut pas les éviter. Paul écrit aux Corinthiens que nous devons éviter d’avoir une quelconque relation avec les impudiques “chrétiens”.
Il mentionne les cupides, les ravisseurs et les idolâtres qu’il convient également de ne pas fréquenter.
Babylone est appelée la mère des impudiques. 

Mais par la Parole et la prière, tout est sanctifié. Si vous êtes paralysés par le fardeau de votre transgression, en un instant, à cet instant, vous pouvez être affranchi.
Notre héritage ne peut se corrompre, ni souiller.

Le souverain sacrificateur est décrit comme saint, innocent, sans tache, plus élevé que les cieux, séparé des pécheurs. Il est notre souverain sacrificateur. Dans la prière, nous entrons dans le tabernacle de la vie. Notre héritage est une plénitude de vie, une abondance de vie, des fleuves de vie. C’est l’héritage des saints dans la lumière réservé aux saints. Le gage de cet héritage est le sceau du Saint Esprit dont la présence illumine nos coeurs.
Israël fut séparé de tous les peuple pour que Dieu en fasse son héritage.

L’espérance purifie et modifie notre état mental. L’homme qui espère a fondé sur les promesses de Dieu toute son existence. Le Saint Esprit guérit le psychisme affaibli par le péché. Il appelle à l’existence la lumière du sein des ténèbres. Il peut tout. Il change tout.

L’Eglise est comparée à une ville d’or pur comme du verre transparent, semblable à du verre pur.
Revêtues d’un fin lin, pur et blanc, les armées qui sont dans le ciel suivront le Fidèle et le Véritable sur la tête duquel seront plusieurs diadèmes.
C’est l’image du triomphe sur l’adversité, de la victoire sur le mal, de l’autorité sur les esprits impurs.

Nous ne sommes pas appelés à nous mélanger au monde mais à nous en distinguer résolument par nos choix et quel que soit le prix à payer.

Si celui qui est saint se sanctifie encore, sanctifiant Christ dans son coeur, il participe à la joie des héritiers d’un salut si merveilleux. Il vit dans le sanctuaire de la présence divine. Il respire le parfum de la sainteté. Il glorifie le Seigneur et se laisse transformer.
Il verra le Seigneur.

Il a une libre entrée dans le sanctuaire, marchant victorieusement en nouveauté de vie, séparé des pécheurs.

Mickaël Berreby

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