Par Le péché se couche à la porte de chaque homme. Aux yeux de Dieu, le péché de l’humanité est énorme, dévastateur et assassin. C’est l’ennemi mortel qui détruit tout, qui corrompt les plus belles richesses de la vie.
La seule issue devant ce terrible fléau est le pardon.
Le seul qui soit en mesure de l’offrir est Jésus.
Le sachant, Dieu avait organisé une préfiguration de ce qui allait se produire avec la venue de son Fils. C’est ainsi que les divers sacrifices illustrent le sacrifice suprême de l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.
Il éduqua ainsi l’humanité à confesser le mal pour pouvoir s’en détourner. Car toute véritable victoire commence par une confession honnête, sincère et véridique de ce péché qui tourmente et lie le cœur de chaque être humain.
Notre péché nous atteint comme une flèche tirée contre nous-mêmes. Il n’est jamais neutre.
Mais Dieu a voulu qu’il ne soit pas indélébile et définitif, qu’il ne puisse pas mettre à mort celui qui se repent.
Tous ont péché. Aucun être humain ne peut prétendre à la perfection. Le plus saint des saints reste un pécheur. Ce qui fait la force d’un homme consacré est sa capacité à reconnaître son iniquité, à la confesser, à s’en détourner.
Il n’a pour cela que la grâce. Il sait que Dieu est un Père rempli de compassion, et qu’il trouvera toujours le pardon auprès de Dieu.
Par un seul homme, le péché est entré dans le monde. Par le péché d’un seul homme, la mort est entrée dans le monde.
La mort provient du péché. Le salaire du péché est la mort. Nous mourrons tous à cause du péché.
Mais par un seul homme, la justification est accordée à celui qui croit et qui se saisit des promesses. Il en aura une preuve immédiate et tangible. Il recevra une paix parfaite qui surpasse toutes les considérations d’ordre logique, tous les raisonnements, toutes les théories. Il aura la paix avec Dieu, cette paix que Jésus donne, cette paix que le monde ne connaît pas.
Cette paix est pour vous qui lisez ces quelques lignes. Recevez-la. Laissez l’amour triompher de la mort. Laissez abonder la grâce.
Celui qui est né de Dieu se garde lui-même et le malin ne le touche pas.
Mickaël Berreby