Par La louange consiste à dire à l’Eternel notre amour. C’est un cri d’amour. L’Eternel en est digne. Il ne suffit pas de prier, mais il importe également d’exalter le Nom du Seigneur.
Chez “les hommes droits”, cette forme de relation avec Dieu est en parfaite harmonie avec leur conscience. Ils sont naturellement dans une relation tendre d’affection profonde avec Celui qu’ils confessent de leur bouche. En fait, la louange est toujours sur leur bouche. Ils expriment ce que leur esprit éprouve en permanence.
Quand ils célèbrent la justice du Seigneur, quand ils chantent un cantique nouveau, ce cri retentit jusqu’aux extrémités de la terre. Ils publient la splendeur de Dieu. Cette louange est la conséquence de la présence de Dieu.
La louange s’incline devant l’insondable. C’est un vêtement de louange qui remplace un esprit abattu.
Paul parle de la louange de la gloire de sa grâce (Ephésiens 1:6). C’est le sommet de la joie quand la conscience purifiée perçoit la gratuité du pardon, de l’onction, de la sanctification.
Car tout est gratuit.
Le marchandage diabolique que proposent les marchands du temple médiatiques est une malversation qui tend à corrompre les coeurs. Tout est gratuit et tout est grâce. Tout n’est que compassion et tout est l’expression d’un Dieu de sainteté qui s’est donné en Son Fils.
Les lèvres qui confessent Jésus, le Nom au-dessus de tous les noms, sont un sacrifice de louange. Car l’Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et la louange aux siècles des siècles.
L’invoquer, faire connaître ses hauts faits, annoncer sa miséricorde, le proclamer, le bénir, c’est être rempli de l’Esprit de prophétie.
Le Père demande de tels adorateurs.
Mickaël Berreby