Par Certains hommes vivants sur cette terre n’aiment pas leurs prochains, n’aiment pas leurs voisins, n’aiment pas leurs proches. Selon la Bible, ces hommes sont “morts”. Ils demeurent dans la mort (1 Jean 3:14).
Car selon l’Ecriture Sainte, la mort est absence d’amour, refus d’amour, négation de l’amour. Tant d’hommes vivent ainsi dans la mort.
Que d’âmes livrées à la perdition, illusionnées quant à leur condition dramatique. Que d’égarements et que de douleurs inutiles parce que la mort règne dans la pensée des hommes.
Le péché consommé a produit la mort spirituelle. Elle vient de la convoitise qui a conçu le péché.
C’est malheureusement le constat effrayant de notre humanité en proie à la détresse, aux crimes, à l’injustice, aux épouvantables déviations, à l’idolâtrie, à l’occultisme, à la séduction et à l’impureté.
La perspective lumineuse et merveilleuse qui attend le racheté dévoile que Dieu essuiera toute larme, qu’il n’y aura plus de deuil, ni de douleur, que la mort ne sera plus.
La mort et le séjour des morts « rendront les morts qui étaient en eux » (Apocalypse 20:13). Ainsi, sachez que quand vous serez mort, ce ne sera pas la fin, car la mort rendra celui qu’elle a retenu captif pour un temps.
Le païen pense que mourir est une fin, ou encore qu’une réincarnation permettra de revivre sous une autre forme. Selon l’Ecriture, il est donné à l’homme de mourir une seule fois. Après viendra le jugement.
Nous avons une conception fallacieuse de la mort, estimant à tort qu’elle sanctionne définitivement le vécu bon ou mauvais de l’homme. Il n’en est rien. Le jugement n’est pas la mort physique. Le jugement viendra après que la mort aura rendu ses morts.
Il y aura après « une seconde mort » que ne connaîtront pas ceux qui ont vaincu, ceux à qui est réservée la couronne de vie.
Jésus Christ, le Messie d’Israël tient les clefs de la mort et du séjour des morts.
La mort empêchait les sacrificateurs d’être permanents. Mais le Messie est le souverain sacrificateur. Il est “permanent”. Il est le même, hier, aujourd’hui et éternellement. Il sauve de la mort. Il est le prince de la vie.
Il arrache de la captivité et de la servitude les esclaves du malin. Il est le Sauveur, le Oint, le Seigneur de gloire. Sa puissance est telle qu’il peut libérer quiconque en un instant par son Esprit.
La mort n’a pas pu le retenir. La mort ne peut pas vous retenir. La mort ne pourra pas vous retenir. Elle vous rendra et vous ne connaîtrez pas la seconde mort si vous vous appropriez par la foi la victoire qui triomphe de ce monde.
Jésus a anéanti celui qui a la puissance de la mort quand il a souffert la mort pour tous. Il a détruit la mort et mis en évidence l’immortalité par l’Evangile.
Par Jésus et avec lui, vous serez ramené à la vie si vous croyez que Jésus est mort, qu’il est ressuscité et que par sa mort, il vous a réconciliés avec Dieu.
La mort rendra ses morts.
Mickaël Berreby