Par Tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde. Voilà pourquoi les rachetés de l’Eternel retourneront à Sion avec des chants d’allégresse et de triomphe.
Quand Dieu essuiera toute larme de nos yeux, la mort ne sera plus ; le deuil, les cris et la douleur auront disparu.
Notre foi est la victoire qui triomphe du monde. Dans cette victoire, la mort a été engloutie une fois pour toutes.
Résistons au diable quand il nous accule dans le désert du doute et de l’épreuve.
La pire crainte de Satan est que la Parole de Dieu, semence incorruptible, s’enracine en nous, porte du fruit, nous transforme et nous renouvelle.
Nous sommes spirituellement des sacrificateurs, et nos offrandes sont notre adoration et notre louange.
C’est un royaume inébranlable qu’ont reçu ceux qui sont fermes, ayant été fortifiés par la puissance de Dieu. Aucune iniquité ne domine sur ceux dont les pas ont été affermis dans la Parole de l’Eternel.
Pour être rendus forts dans le Seigneur, nous recevons ses dons spirituels qui enracinent, et nous nous fondons en Lui par la foi d’après les instructions révélées dans sa Parole.
L’enracinement est dans l’amour et non dans la connaissance, dans la vie et non dans la théorie, dans l’Esprit et non dans l’âme, dans l’invisible et non dans l’apparence.
Notre espérance pénètre au-delà du voile, comme une ancre solide et sûre.
Le fondement de notre foi est la pierre angulaire, Jésus-Christ, posée en Sion et sur laquelle prennent appui ceux qui ont été touchés par le Seigneur.
Nous sommes le champ de Dieu, son édifice, sa maison, son ouvrage, sa demeure éternelle, son temple saint, son habitation.
Si nous sommes nés de Dieu, nous gardons ses commandements, la vérité demeure en nous, nous demeurons dans l’amour et Dieu demeure en nous pour que son amour soit parfait en nous.
Marcher comme Jésus a marché lui-même est l’unique façon de vaincre le malin.
Il a résisté au malin. Il a chassé le malin. Il a vaincu le malin. Il a libéré les captifs. Il a brisé les chaînes de l’adversité en faisant fuir les démons. Et la mort a chaque fois a été engloutie.
Mickaël Berreby