Par Formés pour la perdition, certains hommes sont appelés des vases de colère.
Ceux qui sont justifiés par le sang de Jésus sont sauvés par lui de la colère.
La loi produit la colère. Mais la grâce abonde pour que s’efface à jamais la condamnation.
L’ardente colère du Dieu tout-puissant s’exprimera par ce que l’Ecriture nomme les sept coupes de la colère de Dieu.
Sept anges auront sept coupes d’or pleines de la colère de Dieu. C’est par eux que s’accomplira la colère de Dieu.
Ceux qui adorent la bête et son image et reçoivent une marque sur leur front ou sur leur main droite seront tourmentés dans le feu et le soufre devant les saints anges et devant l’agneau. Le temps viendra de juger les morts et de récompenser les serviteurs, les saints et tous ceux qui craignent le nom béni de l’Eternel.
Ceux qui détruisent la terre seront punis. Personne ne subsistera devant la colère divine. Ce sera la colère de Jésus, de l’agneau qui, de Sauveur, deviendra juge.
La colère de l’homme n’est rien. Elle n’accomplit jamais la justice de Dieu.
Quand l’homme s’emporte, il n’exprime que ses ressentiments, tandis que Dieu exprime la sainteté de sa justice parfaite.
Ceux qui refusent le Seigneur n’entrent pas dans son repos. Ils sont tourmentés, agités, anxieux, perplexes, troublés, inconstants, rebelles, obscurcis dans leur intelligence. Ils rusent et calculent, s’imaginant vainement que l’Esprit ne sait pas et ne voit pas leurs basses manigances.
Nous ne sommes pas destinés à la colère. Nous sommes destinés à la gloire dans l’amour et la paix par la révélation insondable de la rédemption que Christ a acquise par son précieux sang. Jésus nous délivre de la colère à venir.
Comment le savons-nous ?
Nous le savons quand l’amour de Dieu est répandu dans notre coeur par l’Esprit, quand, au lieu de juger et de condamner, nous aimons et nous pardonnons.
L’animosité et la méchanceté sont les fruits des ténèbres. La bonté et la tendresse, la générosité et la compassion sont les fruits de la lumière qui dissipe le mal en le surmontant par le bien.
C’est donc sur les fils de la rébellion que vient la colère de Dieu. Ces individus ont été séduits par de vains discours. C’est une tragédie de voir des hommes adorer des bêtes, craindre les esprits, se laisser effrayer par le mensonge de charlatans, croire en la divination, consulter des astrologues, craindre la sorcellerie. Rien n’est assez puissant pour s’opposer au Saint-Esprit.
Laissons la calomnie, la clameur et la malice.
Ouvrons notre coeur à la gloire.
Bénissons de toutes nos forces.
Prions pour ceux qui souffrent.
Ne donnons pas accès au diable.
Si nous étions des enfants de colère, nous ne le sommes plus.
Aujourd’hui, nous sommes les enfants d’un Père aimant, lent à la colère et riche en bonté.
Mickaël Berreby