Par Si vous avez entendu que les paroles du Seigneur sont esprit et vie, vous savez que le royaume de Dieu est en vous, et que vous pouvez tout par celui qui vous fortifie.
Christ s’est chargé de votre péché et de vos maladies.
Christ a été blessé pour vous. Christ s’en est allé vous préparer une demeure.
Ainsi se définit le sens de votre vie.
Vous vivez dans l’attente de la demeure éternelle que Jésus-Christ prépare pour vous.
Vous ne vivez plus seul.
Vous n’êtes pas orphelin.
Vous n’êtes pas livré à vous-même.
Le Messie vous a envoyé le Consolateur qui conduit dans toute la vérité celui qui croit.
Vous avez la vie éternelle. Vous croyez et vous verrez la gloire de Dieu. Aucune peur n’est plus grande que la foi.
Vous n’êtes plus un étranger, quelqu’un du dehors, en dehors de la maison de Dieu. Vous êtes gens de la maison de Dieu, concitoyen des saints, dans la foule des adorateurs qui adorent en esprit et en vérité.
Vous étiez mort dans vos offenses, mais vous avez été ramené à la vie. Vous avez reçu la lumière qui dissipe les ténèbres. Vous connaissez la vérité qui vous rend libre.
Les chaînes du mensonge et de la séduction ont été brisées.
Vous savez que la puissance du Saint-Esprit n’est pas une formule magique, mais que c’est la réalité de la réalisation du réel de Dieu en vous quand l’onction sainte vous touche.
Ne cultivez pas la peur, l’inquiétude, les pensées tristes et moroses, la désinvolture.
Levez votre tête, car votre délivrance approche. Regardez simplement au Seigneur en lui disant :
“Je crois. Je sais. Je veux. J’accepte que tu règnes en moi.”
Alors s’évanouiront les raisons mensongères de craindre et de confesser la défaite. Votre psychisme en sera libéré, affranchi, renouvelé et béni. Vous regarderez la vie de façon positive.
Vous n’aurez que faire des belles phrases religieuses compliquées qui n’apportent rien. Vous aurez la juste attitude, celle qui plaît au Seigneur, celle qui agit sur votre entourage en changeant les circonstances.
Dieu a parlé et vous avez entendu sa voix.
C’est pourquoi déjà vous êtes pur.
Mickaël Berreby