Par Nous ne réaliserons la splendeur infinie de Jésus qu’après avoir délaissé les falsifications de la religion. Même si cela est douloureux, il est de la plus haute importance de distinguer Jésus du Christianisme. La religion est ce que les hommes en font.
Jésus n’est pas un personnage religieux. Il ne peut être dépeint par l’homme corrompu. Personne n’est en mesure de le représenter.
Jésus n’est pas de ce monde.
N’est-il pas le premier et le dernier, celui qui vit aux siècles des siècles, le Prince de la vie, le Sauveur du monde ?
Seul l’amour du Père pour cette humanité justifie la rédemption.
Dieu a tant aimé le monde. Voilà la raison de la venue de Jésus.
Il ne peut s’agir que de cet amour répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné, que de cet amour dont rien ne peut nous séparer.
Cet amour dirige nos coeurs s’ils en sont remplis.
L’unique définition de l’amour de Dieu manifesté en nous consiste à garder ses commandements.
Cette injonction fut adressée aux enfants d’Israël, les premiers bénéficiaires d’une promesse conditionnelle assurant qu’aucune des maladies ne les atteindrait s’ils écoutaient la voix de l’Eternel, s’ils faisaient ce qui était droit à ses yeux, s’ils prêtaient l’oreille à ses commandements, s’ils observaient toutes ses lois (Exode 15:26).
La seule façon de savoir si nous avons connu Dieu est ainsi de garder ses commandements.
Autrement, notre confession n’est que mensonge et la vérité n’est pas en nous.
En gardant les commandements de Dieu nous connaissons par l’Esprit que Dieu demeure en nous.
L’un des fruits de ce miracle s’exprime par l’amour dont nous aimons nos frères et soeurs dans le Seigneur. Car l’amour consiste à garder les commandements. Ceux qui les gardent rendent gloire à Dieu, fortifiés par la foi, prosternés devant son trône, dans la célébration de Son merveilleux nom, conscients de la gloire retrouvée.
Mickaël Berreby