Par C’est par de précieuses promesses que nous devenons participants à la nature divine.
Dieu accomplit ce qu’il promet.
Le mystère de Dieu annoncé à ses serviteurs les prophètes s’accomplira quand le septième ange sonnera de la trompette.
Toute la splendeur de la rédemption et la révélation des fils et des filles de Dieu éclateront au grand jour quand toutes langues confesseront que Jésus-Christ est Seigneur.
C’est une promesse certaine et digne de confiance.
Les ennemis de Dieu se prosterneront et confesseront la seigneurie de Christ.
Voilà une promesse éternelle. Tout le reste n’est que vanité et poursuite du vent. La foi en cette promesse rend participant à la nature divine.
Participer à la nature divine consiste à jouir de sa présence, à entretenir une relation d’amour dans l’adoration, à le laisser “agir” en nous.
Si nous participons à sa sainteté, nous participerons à sa gloire.
Plus nous gagnons Christ, plus nous nous amassons des trésors dans les cieux.
ll importe retenir l’assurance de la foi, donc se nourrir de ce qui nourrit la foi.
Pour bénéficier d’une telle grâce, il convient de “fuir” la corruption, ne pas participer au péché d’autrui, ne faire aucune alliance, n’entretenir aucune relation avec les ténèbres, refuser la dissimulation, la malice, la ruse.
Celui qui s’est éloigné du mal entend la voix de l’Esprit, reçoit les promesses et s’attend à leur accomplissement. Il vit dans une atmosphère de confiance absolue, de foi inébranlable, d’attente vigilante.
Le ministère supérieure en gloire de la réconciliation est fondé sur des promesses excellentes.
C’est notre héritage.
Nous héritons des promesses.
C’est un patrimoine céleste que seule la foi contemple.
On participe à la grâce, à la sainteté, à la gloire quand on a décidé de séparer la lumière des ténèbres.
La sanctification consiste à se séparer.
Celui qui est saint se sanctifie encore quand il se sépare davantage.
Un vase sanctifié est utile au maître.
C’est un vase d’honneur, mais il reste un vase de terre qui ne fait que contenir cette grande puissance, car il faut qu’en toutes occasions, la gloire revienne au Seigneur et que l’homme n’en reçoive aucune.
Mickaël Berreby