Le Messie est monté au-dessus de tous les cieux afin de remplir toutes choses. Il parle du haut des cieux.
La voix du Père avait été entendue quand il fut dit que le Messie est « son Fils bien-aimé, en qui le Père a mis toute son affection … » (Marc 1:11).
Hébreux 12:25 nous exhorte à ne pas « refuser d’entendre celui qui parle…»
Celui qui est monté parle, mais combien l’écoutent et combien l’entendent ? Pourtant celui qui parle du haut des cieux est le seul qui puisse nous délivrer de la colère à venir.
Nous l’attendons des cieux, car comme il est monté, il descendra.
Ses disciples authentiques ont reçu de sa plénitude. L’amour est la loi dans sa plénitude. L’espérance règne quand l’amour est présent.
Nous espérons la gloire de Dieu contre toute espérance, et nous ne serons jamais déçus. La joie de l’espérance est déjà un accomplissement, la preuve tangible que nous sommes des habitations de Dieu en Esprit. Êtes-vous pleins d’espérance, sous le règne de l’espérance, remplis d’espérance ?
C’est l’état d’un vrai apôtre que de posséder la plénitude des bénédictions par l’espérance qui l’habite. Mais la plénitude de la foi n’est rien sans amour. Dans le Corps du Messie, nous expérimentons cette plénitude qui remplit tout en tous.
Paul souhaite que nous soyons remplis jusqu’à toute la plénitude de Dieu. Il s’agit de cet homme complet quand tous ne font plus qu’un dans la foi. C’est ce qui habitait corporellement dans le Fils de Dieu.
L’onction de sa présence et la manifestation de son amour feront déborder notre coupe afin de bénir ceux qui croisent notre route.
Pour nous, la plénitude de la foi suppose un coeur nettoyé des souillures d’une conscience mauvaise, un corps lavé d’une eau pure. C’est la promesse de l’Eternel de répandre sur nous une eau pure et de nous purifier de nos souillures (Ezéchiel 36:25).
Du haut des cieux, l’Eternel regarde l’humanité. Il cherche « quelqu’un d’intelligent qui cherche Dieu » (Psaume 14:2).
Un vrai disciple est vigilant, attentif, assoiffé de l’eau qui purifie, affamé du pain qui descend du ciel.
Mickaël Berreby