Par Avez-vous pris le temps de réfléchir à ce que représente un enfant ?
Le bénir commence par la gratitude verbale exprimée dans la prière.
Les parents peuvent dire à Dieu : « merci de nous l’avoir donné ».
Imaginez que chaque être humain peut devenir un enfant de Dieu…
Nous pouvons décider de bénir tous les êtres que nous rencontrons.
Telle est la mission du sel de la terre, l’Eglise. Le Seigneur veut que nous bénissions ceux qui nous maudissent. Cela change leur malédiction en victoire de l’amour sur la haine.
Le monde ne bénit personne. Il voit en l’autre un rival. Mais quand un disciple décide de bénir, l’autre est une âme pour laquelle il prie.
En bénissant, vous vous ôtez toute tentation de juger et de condamner.
C’est ainsi qu’un ennemi devient l’objet de votre amour et que vous aimez vos ennemis. Pensez un court instant à tous les êtres que vous aimez et présentez-les au Seigneur dans la prière en les bénissant.
Remerciez Dieu pour votre famille, vos parents, vos amis, vos frères et soeurs dans l’Eglise.
Bénissons-nous les bergers chargés de nous instruire et de nous guider sur le chemin de l’éternité, les évangélistes, les prêtres, les anciens, les missionnaires, les pasteurs, les soeurs qui renoncèrent à une vie de famille pour servir Christ ?
Qu’en est-il de votre ami, votre prochain, l’anonyme qui croise votre route, votre voisin ? Avez-vous béni votre médecin, votre infirmière, votre facteur, votre boulanger, le caissier que vous rencontrez souvent, le pompiste du garage, le coiffeur…?
Dès que sonne le téléphone, avant même de décrocher, vous pouvez bénir celui ou celle qui vous appelle. Savez-vous que vous pouvez répandre la bénédiction simplement en priant pour chacune des personnes rencontrées aujourd’hui.
Il est possible de transformer chaque pensée en prière au point qu’en pensant à une personne, il vous sera naturel de prier pour elle et de la bénir. Si vous empruntez ce chemin, toute votre manière d’aborder l’existence sera entièrement modifiée.
Commencez maintenant, et que chaque pensée devienne une bénédiction.
Mickaël Berreby