Par Aux yeux des sages de ce monde, l’insouciance est un défaut.
Aux yeux de Dieu, l’insouciance est le signe de la foi. C’est le fait de ne pas laisser les soucis dominer nos pensées.
Cette sorte d’insouciance désamorce l’action des ténèbres.
Vous appartenez au projet éternel d’un Dieu bienveillant qui vous aime.
On ne peut trouver un objet perdu dans une pièce obscure. Le péché a obscurci nos pensées. La foi les remplit de lumière. Elle plaît à Dieu. Il prend toujours plus de place et d’espace dans notre marche.
La foi en un Dieu pour qui tout est possible est la plus efficace des hygiènes mentales qui fait de la vie une fête. N’attendez pas demain pour faire confiance à Dieu.
Pour l’homme de foi, un problème est un défi. Ce n’est pas de l’optimisme irresponsable que de croire aux promesses de Dieu. La foi possède la réponse. L’incrédulité ne voit que les problèmes.
Chacun peut choisir. Mais Jésus ne faisait pas de miracles quand il rencontrait l’incrédulité.
Il considérait la foi comme une marque d’intelligence.
A ceux dont le cœur était lent à croire, il disait : « hommes sans intelligence… »
L’homme de foi pense en Dieu, marche en Dieu, respire en Dieu. Il est dans la sphère glorieuse du « tout est accompli ».
Il ne s’apitoie jamais sur lui-même, car il sait que même la mort est un gain si Christ est sa vie.
Comptez les bienfaits de Dieu. Ne comptez pas les épreuves et les douleurs, les chutes et les malheurs. Énumérez ses bontés et sa providence.
Jésus affirme que rien ne serait impossible à celui qui a la foi, et qu’il pourrait ordonner à une montagne de se transporter d’un lieu à un autre.
Il défiait les lois de la logique, de l’évidence et du réalisme.
Mais il concédait que si tout est possible à Dieu, aux hommes, bien des choses sont impossibles. Voilà pourquoi tout ne doit se passer qu’en Dieu.
Le choix des études, le choix d’un métier, le choix d’un compagnon de vie, le choix d’un lieu de résidence. Tout doit être « prié ». Car rien n’est impossible à Dieu.
Voir l’épreuve comme l’occasion de se fortifier change radicalement notre quotidien.
Ceux qui ruminent et murmurent vivent dans la rancœur. Ceux qui effacent les dettes et adorent Dieu vivent dans la plénitude.
Ces derniers ont naturellement la foi créatrice. Ils rêvent comme rêvent comme de petits enfants, sans imaginer que leur rêve ne se réaliserait pas.
L’influence catastrophique des médias génère la peur.
Dieu agit dans le présent. L’avenir n’existe pas, puisque « à chaque jour suffit sa peine ».
La foi vit au présent.
Mickaël Berreby