Par La Parole vivante et permanente de Dieu est une semence incorruptible qui régénère et libère en guérissant, pour que la communion avec le Père soit pure et authentique.
Sans la Bible lue sous l’onction de l’Esprit et dans la prière, nous serions dans l’errance, le vagabondage et la perdition.
Tout ce qui existe est dû à la Parole. Quand sa Parole est en nous, le pouvoir créateur demeure en nous, nous prononçons des paroles de foi et voyons des visions célestes.
La vie prophétique est indissociable d’un profond respect à l’égard de ce que Dieu a dit. Sa Parole est une lampe qui brille dans un lieu obscur. Notre humanité est obscurcie, noircie, souillée par la chute.
Cette Parole doit en premier lieu nous délivrer de nous-mêmes, de la méchanceté, de l’orgueil, de la crainte et de la peur.
Elle est un miroir reflétant notre nature corrompue et trompeuse, nous rappelant la faiblesse de nos meilleures résolutions, l’inconséquence de nos bons sentiments, l’invalidité de nos sentiments changeants.
Elle devient stérile quand, par de faux raisonnements, nous nous trompons nous-mêmes. Elle est inféconde quand l’homme s’en empare pour élaborer des théories visant à exercer une influence à des fins douteuses. Il importe donc que la Parole soit “reçue” comme un cadeau inestimable.
Le monde où nous vivons fut formé par la Parole, plus tranchante qu’une épée à deux tranchants. Car la Parole de Dieu partage l’âme de l’esprit quand elle est vivifiée. Elle est notre référence pour discerner sans juger.
Elle produit une mise en lumière salvatrice. C’est cette Parole qui soutient toutes choses.
C’est elle qui exhorte et qui réfute, qui éclaire et qui console, qui guide et qui change nos circonstances.
La Parole de Dieu conduit à la sainteté et produit une profonde humilité consciente de la petitesse et des limitations de l’homme.
Puissions-nous l’aimer, la chérir, la serrer contre notre coeur, la méditer jour et nuit.
Mickaël Berreby