Par Dans les derniers jours, les temps seront pénibles.
L’ultime chapitre de l’humanité n’est pas éloigné, si l’on en croit l’Ecriture. Personne ne sait de combien de temps nous jouissons encore. Mais tout étudiant sérieux de l’Ecriture n’ignore pas que la nuit vient.
Le monde est bouleversé et bouleversant, tant s’accélèrent les événements qui conduisent à la fin des temps. Des coïncidences convergentes se mettent en place, et ceux qui ont des yeux pour voir savent que rien n’est neutre.
Certains font comme au temps de Noé avant que ne survienne l’accomplissement de la décision divine.
Le monde politique s’agite et se métamorphose. On parle d’un futur président de l’Europe. On se félicite et se congratule.
L’Europe de l’Est se réveille.
La Russie mène une politique hasardeuse en Orient.
La terreur redoutée s’abat sur un monde impuissant. Les victimes se chiffrent par dizaines chaque semaine. Cette vision d’horreur se banalise. Partout, on installe des caméras de surveillance.
On fouille. On vérifie “qui est qui”.
La psychose de cette dernière décennie s’explique par la multitude d’attentats “réussis”.
Nous ne vivons pas dans une grande civilisation paisible qui peut allègrement jouir des prérogatives de la démocratie, mais sur une planète affolée, inquiète, face aux pires déflagrations de son histoire.
L’enjeu est « la domination du monde » qu’ambitionnera un homme que la
Bible appelle l’Antichrist. Chaque génération fournit plusieurs candidats. Mais un seul, à l’heure de Dieu, entrera sur la scène politique.
Il est devenu utopique de rationaliser l’actualité, tant tout se hâte, tant les détonations d’apparence négligeable peuvent embraser d’incalculables conflits armés.
Ceux qui continuent d’évoquer un nouvel ordre mondial seraient bien inspirés de se mettre à l’écoute de la Bible. Ses prévisions sont cohérentes et dignes de foi.
Elle annonce l’abandon des souverainetés nationales au profit d’un gouvernement mondial.
Elle annonce une économie mondiale qui globalisera les richesses.
Elle annonce une religion unique au nom d’une paix à laquelle adhèrent bien des chefs religieux épris d’oecuménisme.
Les Etats Unis d’Europe pourraient bientôt voir le jour. Serait-ce la résurrection de l’empire romain des derniers temps ?
Les bâtisseurs de Babel s’imaginaient que, solidaires, ils seraient invincibles.
Malencontreusement, ceux qui s’affairent à édifier une vaste démocratie le font sans Dieu, et leurs notions de la liberté risquent de connaître quelques imprévus.
La toile de l’internet se tisse et les réseaux se métamorphosent. Des concupiscences sournoises infiltrent les consciences, et les médias détiennent un rôle majeur dans ce conditionnement qui organise des adhésions dangereuses qui apparaissent “humanistes”, profitables, lucratives.
Les lois morales de Dieu sont bafouées par des politiciens démagogues qui donnent l’esquisse de leur désinvolture et de leur ignorance.
L’Eglise officielle engendre des théologiens anesthésiés et conciliants. Les autorités morales sont réduites au silence.
Les écoles primaires sont des viviers de vulgarité. La notion du péché échappe à l’homme moderne.
Seuls des individus avisés tendent l’oreille à l’écoute de Dieu, confiants dans Sa Parole.
Ils ignorent les clivages et se concentrent sur ce qui prime : le salut de l’âme qui croise leur route.
Ils savent qu’il n’est guère question de dogmes, puisque les religions morcellent les hommes et rivalisent entre elles.
Ils savent que l’heure indique l’accomplissement des paroles de Christ, car les temps sont difficiles.
Mickaël Berreby