Qui n’a pas été piégé par la facilité, le moindre effort, le vagabondage de la pensée, le découragement, le sentiment d’échec ?
Ces sinistres pensées génèrent des attitudes et finalement des habitudes de défaitisme et de négativité.
L’odeur de Christ est un parfum de victoire sur toutes les forces maléfiques, une mise en lumière des tromperies multiples que subissent les hommes.
Vivre dans la victoire n’est jamais la même chose pour tous, car chacun est unique. Mais comme chacun respire le même air, la victoire est une atmosphère qui se respire.
Cette atmosphère est l’affaire de l’homme autant que celle de Dieu. Car nous ne sommes que ce dont nous nous nourrissons.
Si nous absorbons de mauvaises nouvelles et si nous confessons ce qui ne va pas, nous vivons dans la peur.
En proclamant humblement mais fermement que Jésus-Christ est Seigneur, que tout ce qu’il a fait est infiniment au-dessus de ce que les théologiens, les historiens et les théoriciens suggèrent, nous sortons du monde de la banalité pour nous élever dans une sphère de sainteté.
Car ce Jésus est l’atmosphère que l’on respire.
N’est-il pas l’Esprit vivifiant ?
En respirant Christ, nous sommes saturés de Lui et nous demeurons là où il nous veut, attachés au Cep, esclaves de la justice, enfants de lumière, flambeaux dans la nuit, adorateurs en esprit et en vérité, remplis de louanges et d’adoration,
témoins de sa résurrection.
Ce qui aurait pu n’être qu’une succession de vérités dogmatiques est une triomphale proclamation de la seigneurie du Maître de nos vies.
Ce qui aurait pu n’être qu’une pratique religieuse est un vécu spirituel.
Ce qui aurait pu n’être qu’une mémorisation abstraite d’un message sans saveur, est une immense fontaine d’eau vive qui désaltère notre âme.
Nous vivons en nouveauté de vie, affermis, enracinés, ancrés, revêtus de sa force et habités par son merveilleux Esprit.
Mickaël Berreby