Jérémie 31:3
Quand Dieu dit à Israël qu’il lui conserve sa bonté, qu’il rétablira son peuple, qu’il sortira au milieu de danses joyeuses, il parle le langage de la bénédiction.
Les planteurs planteront et récolteront. Ils cueilleront les fruits en chantant les louanges du Très-Haut.
Cette annonce prophétique d’un Dieu qui rassemble et qui mène les siens vers des torrents d’eau décline l’identité de l’Eternel.
Il est un Berger qui, dans le combat, délivre son enfant de la main d’un plus fort que lui.
Il change le deuil en allégresse et met fin à la souffrance. Il rassasie de Lui-même celui qui soupire comme une biche soupire après
un courant d’eau.
Il fait du lieu de sa résidence une montagne sainte. Pour l’Eglise, la promesse se réalise en Christ. Ses élus seront sacrificateurs de Dieu et de Christ quand Jésus régnera pendant mille ans. Puis, après que Satan ait été jeté dans l’étang de feu et de souffre où seront la bête et le faux prophète, les livres seront ouverts.
Le tabernacle de Dieu sera parmi les hommes. L’Eternel habitera avec eux. Ils seront son peuple. Il essuiera toute larme.
La mort ne sera plus. Les premières choses disparaîtront. Il fera toutes choses nouvelles, car Il nous aime d’un amour éternel.
Mickaël Berreby