L’erreur n’est pas fatale et définitive, et Dieu ne nous évalue pas en fonction de nos mérites, de nos performances, de nos progrès et de nos victoires.
Il ne nous évalue pas. Il nous aime.
Il ne nous juge pas. Il nous aime.
Il ne nous condamne pas. Il nous aime.
Il ne nous reproche rien. Il nous aime.
Son seul critère est de savoir si nous sommes “en Christ”.
Car “en Christ” tout est résolu, accompli, réalisé et parfait.
Et si nous multiplions les erreurs, peu importe.
Nous les avouons et nous nous en détournons. Si nous sommes faibles, peu importe. Il est notre force et notre but, notre chemin et notre moyen d’atteindre ses objectifs. Nous avons tout pleinement en Lui.
Quand Christ a tout accompli, il a rempli toutes les conditions requises pour que nous venions à Dieu tels que nous sommes, sans rien à nous, sinon le sang précieux de Jésus.
Nous n’aurions rien à offrir qui soit digne de lui. Nous ne pourrions jamais prétendre satisfaire les exigences de la sainteté de Dieu. Nous ne serons jamais à la hauteur.
Il faut décider de renoncer à venir au Seigneur armés de nos valeurs, de nos connaissances, de notre consécration, de notre amour.
Rien, absolument rien d’autre que Christ en nous ne peut Lui être agréable.
Mais quand Christ est présent, quand il demeure en nous, quand nous demeurons en Lui, quand sa Parole habite dans toute sa limpidité dans notre esprit, alors jaillissent des fleuves de vie.
Alors naissent des pensées pures et saintes.
Alors nous sommes transformés et “transformables”, puisque malléables et disponibles à ce qu’il veut.
Alors nous ne voulons que ce qu’il veut et nous sommes dans l’allégresse, car nous avons tout pleinement en Lui.
Mickaël Berreby