Par L’immensité écrase et attire.
A supposer que l’univers constitue l’ensemble de tout, pour le décrypter, on conçoit des télescopes, on se hisse dans l’espace, sans toutefois en circonscrire ses confins.
Les intervalles supposés de l’univers sont infinis.
Notre système solaire serait de douze milliards de kilomètres. Il faudrait onze heures à la lumière pour le traverser. Ce ne serait qu’une parcelle infime de l’univers.
Pour nous parvenir, la lumière de l’étoile la plus proche met quatre ans.
De la galaxie d’Andromède, la plus proche parmi les galaxies spirales, il faut deux millions d’années à la lumière pour arriver jusqu’à nous.
Notre galaxie, la voie lactée, est une parmi des milliards de galaxies. Le soleil est une étoile. Il en existe des milliards dans notre galaxie.
L’univers est en perpétuel mouvement, en expansion, en évolution.
Nous n’avons que ce que nos sens saisissent, c’est-à-dire bien peu de choses.
Curieux et intrigués, nous cherchons.
Rien n’interdit cette quête. La révélation biblique l’encourage même.
Ce n’est pas sur le plan « scientifique » qu’elle convie l’humanité, mais comme une révélation. Elle affirme que des hommes ont été poussés par l’Esprit à parler de la part de Dieu.
Dieu appela l’étendue ciel. Un jour, le temple du tabernacle du témoignage sera ouvert dans le ciel. C’est du ciel que descendra la ville sainte, Jérusalem.
Le Créateur des cieux nous dit que les cieux passeront, mais que ses paroles ne passeront pas.
Il parle du haut des cieux, lui dont la voix ébranle la terre.
Quand nous scrutons l’infini, songeons que le Père y a sa demeure, là où Christ est assis.
Soyons fils de notre Père qui est dans les cieux.
Mickaël Berreby