David était un adorateur qui exaltait le Dieu de sainteté, son roi. Il le bénissait et adorait son nom à perpétuité.
Il célébrait le Dieu de gloire.
Il proclamait l’immensité de l’Eternel, dont il déclarait qu’il est digne de louange.
Il voulait dire la splendeur et la majesté de son Dieu.
Quand le Seigneur, assis sur un ânon, s’approcha de Jérusalem, ceux qui le précédaient et ceux qui le suivaient criaient:
« Hosanna (sauve-nous) ! Béni soit le règne qui vient, le règne de David. »
L’aveugle qui entendait la foule passer s’écria :
« Aie pitié de moi, Jésus, fils de David… »
Il s’agissait de Jésus de Nazareth. Mais l’aveugle avait compris que Dieu avait suscité de la maison de David un puissant Sauveur.
A la fin de la Bible, Jésus dit de lui-même qu’il est le rejeton et la postérité de David.
Il avait déjà été appelé le lion de la tribu de Juda et le rejeton de David qui a vaincu pour ouvrir le livre des mystères de l’agencement de l’univers.
Le dernier livre de la Bible le présente également comme celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n’ouvrira.
David était un homme de foi qui appartient à la liste des géants qui vainquirent des royaumes, exercèrent la justice et obtinrent des promesses.
Jésus-Christ est issu de la postérité de David. Ce roi, chantre de Dieu, exprime le bonheur de l’homme pardonné, l’homme à qui Dieu impute la justice sans les oeuvres, l’homme de foi.
La prophétie qui annonce le miracle que Dieu relèverait la tente de David, qu’il en réparerait les ruines et qu’il la redresserait, est fondamentale pour réaliser le miracle de l’incarnation du Messie, son oeuvre rédemptrice et la lumière éblouissante de sa révélation incomparable.
Le Dieu de David est le Dieu du Fils de David, d’éternité en éternité.
Mickaël Berreby