Par Tous les hommes fléchiront le genou devant sa majesté. Les plus hostiles connaîtront l’autorité d’un Berger qui paîtra les nations avec une verge de fer.
Aucun ne parvient à déchiffrer les événements, grands ou petits, que ce siècle fait défiler sous nos yeux de plus en plus vite. Ceux qui, aujourd’hui, démentent sa gloire et nient sa grandeur, confesseront que Jésus-Christ est Seigneur.
Qui saurait enfermer l’Eternel dans un concept limité ?
Qui pourrait le réduire à une portion du temps qui passe ?
Qui oserait figer dans l’histoire de l’homme mortel Celui qui est immortel, qui n’a ni commencement ni fin de jours ?
Nous ne voyons la lumière que dans sa lumière.
Il est d’en haut. Nous sommes d’en bas.
Durant son ministère “terrestre”, il s’est dressé contre la cruelle fatalité, le règne monstrueux des ténèbres, faisant fuir les démons qui s’enhardissaient à tourmenter leurs proies, libérant les captifs de l’enfer, mettant fin à l’oppression des esprits méchants.
L’usure du temps n’atteint pas le Dieu de l’éternité. Il ne sommeille ni ne dort. Aucun changement n’affecte le Seigneur. Il n’y a pas la moindre ombre d’une variation en Lui.
Il est le même, hier, aujourd’hui et éternellement. Il est Celui qui est, insensible aux échéances auxquelles nous accordons tous tant d’importance. Les morts qui entendront la voix du Fils de Dieu vivront, quand bien même ils seraient morts.
Les hommes périront, mais Il subsiste. Ils vieilliront comme un vêtement…
Lui reste le même, et ses années ne finiront pas (Hébreux 1:12).
Mickaël Berreby