Jésus est ressuscité d’entre les morts. Il était mort, mais la mort n’a pas pu le retenir, car Jésus est la résurrection et la vie. Il vit aux siècles des siècles. Il est monté vers le Père.
Il y a un homme dans la gloire. Un être humain a vaincu la mort. Il en est sorti vainqueur. Puis, il a manifesté à des témoins qu’il était vivant. On pouvait voir sur son corps les traces de son calvaire.
Il a marché avec des disciples émerveillés sur le chemin d’Emmaüs. Il a mangé avec les siens. Il a promis que ses disciples recevraient une puissance, le Saint-Esprit, le Consolateur, et qu’ils seraient ses témoins jusqu’aux extrémités de la terre. Il a tenu sa promesse, en dépit des cultures, des races, des contextes. Il a sauvé une multitude d’hommes de toutes les tribus de la terre.
Il a annoncé l’apostasie, l’attiédissement de la foi, la révolte de l’humanité opposée à l’amour de Dieu, la division dans les familles à cause de son nom. Il a annoncé qu’il n’est pas venu apporter la paix, mais l’épée.
Aux siens Il donne sa paix, une paix que le monde ne connaît pas. Mais pour le monde, Jésus est un rocher de scandale.
Il a prié le Père pour ceux que le Père lui a donnés. Il a précisé : “Je ne te prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés afin qu’aucun ne se perde…”
Tout est glorieusement inclus dans son adorable personne. Pour les chrétiens se pose la question du degré de consécration au Seigneur.
Pour les appelés qui n’ont pas encore répondu, se pose la question du choix ferme et résolu de le suivre, et donc de délaisser ce qui n’a pas d’importance.
Quel Sauveur merveilleux ! Jésus est merveilleux. Il est un merveilleux Sauveur, le Sauveur du monde.
Mickaël Berreby