S’il est merveilleux de se rassembler en Son Nom, c’est pour que chacun respire la présence du Seigneur, soit fortifié et connaisse l’onction qui nous enseigne.
Ainsi est-il vital de se retrouver dans le nom de Jésus et de s’accorder dans le nom de Jésus pour glorifier ensemble ce nom au-dessus de tous les noms.
Il serait préjudiciable de comparer ce nom à d’autres noms des grands et des célèbres de l’histoire, quelle qu’ait pu être leur importance.
Jésus n’est pas comparable.
Son nom n’est pas comparable.
Son oeuvre n’est comparable à aucune autre.
Il est la Parole faite chair, cette Parole qui était Dieu auprès de Dieu, et qui, étant venue parmi nous, fut le reflet de la gloire de Dieu et l’empreinte de sa personne.
Jésus est ainsi l’unique sauveur, l’unique médiateur, l’unique Seigneur, le Roi des rois.
Pour tenter de le réduire à l’échelle des hommes, certains parlent de lui comme du fondateur de la religion chrétienne. Mais Jésus n’a fondé aucune religion. Il est venu sauver ce qui était perdu.
Il s’en est pris avec véhémence au système religieux qu’il a condamné, à la tradition dont il déclara qu’elle annule la Parole de Dieu, à l’apparence des hypocrites qui soignent l’extérieur pour dissimuler l’intérieur.
Jésus est l’être le plus glorieux que cet univers puisse contempler, le plus beau des fils de l’homme, le plus merveilleux des joyaux qu’il nous est donné d’admirer.
Il est le pardon et la grâce quand règnent la cruauté et l’intransigeance.
Il est la lumière là où les ténèbres du péché défigurent et ternissent.
Il est le Messie d’Israël qui le reconnaîtra quand un esprit de grâce et de supplication sera répandu sur le peuple dont il est le roi.
A qui pourrait-on le comparer ?
Son sang purifie le plus vil des pécheurs.
Son Esprit console et conduit dans toute la vérité.
Sa Parole engendre de nouvelles créatures, celles qui étaient prédestinées avant la fondation du monde à devenir semblables à lui.
Nul n’est comparable à Jésus.
Mickaël Berreby