Si vous recevez une lettre, avant de l’ouvrir, vous ignorez son contenu.
Le pardon est reçu. Mais il faut ouvrir l’enveloppe pour réaliser à quel point il est réel.
Certains se contentent de déclarer qu’ils ont bien reçu “la lettre” sans jamais la lire.
Quand on lit ce que dit la lettre, on prend conscience que Jésus a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistaient contre nous. Il a détruit l’acte en le clouant à la croix. Il a dépouillé les dominations et les autorités et les a livrées publiquement en triomphant d’elles par la croix.
Ainsi, la lettre dit clairement que plus rien de ce qui vous condamne n’est lisible. Ce qui était écrit, même si ce qui était écrit était légitime, ce qui était écrit a été effacé.
Jésus a effacé ce qui était lisible afin que rien ni personne jamais ne puisse vous condamner.
Tout ce qui subsiste contre vous est illisible.
On ne peut pas lire ce qui est effacé.
Jésus a cloué à la croix cet acte qui contenait les milliards de fautes, de manquements, d’erreurs, de transgressions, de révolte, d’impureté, d’orgueil, de mensonges.
Jésus l’a fait en rendant impotentes les forces maléfiques et en destituant les puissances des ténèbres.
Toutes nos offenses, nos faiblesses, nos iniquités sont effacées pour l’éternité. Plus rien ne subsiste. Nous ne sommes plus dans la condamnation. Même les vraies accusations basées sur des faits réels n’ont plus la moindre incidence. Dieu l’a fait par amour pour nous. Jésus l’a fait publiquement pour que l’univers entende qu’il a triomphé du mal en ôtant le péché du monde par son sacrifice.
Il vous sera pardonné absolument tout si vous acceptez son amour en plaçant votre confiance dans ce que Christ a fait.
Il n’existe aucun autre moyen de recevoir la paix avec Dieu. Cette paix avec Dieu provient du fait qu’Il rend justes ceux qui ne l’étaient pas. Ils sont justifiés par la foi. La foi suffit à rendre efficace l’oeuvre de Christ pour chacun d’entre nous.
Tel est l’Evangile, si simple, tellement accessible, étonnamment limpide.
Nos péchés sont pardonnés à cause de son nom.
Mickaël Berreby